vendredi 10 janvier 2020

De Québec à Buenos Aires

Mercredi le 8 janvier et jeudi le 9 janvier 2020. De Québec à Buenos Aires.  

Nous partons de Québec pour Toronto à 16h30 et rencontrons par hasard à l’aéroport nos amis Denise et Daniel qui vont passer trois semaines en Équateur. Nous soupons ensemble à Toronto et bien entendu les discussions tournent autour des voyages. Passés, présent et futurs. Bon voyage les amis!

On embarque dans l’avion vers 21h30 mais le départ ne se fait qu’à 23h15. Nous restons une heure à niaiser sur le tarmac avant de pouvoir enfin partir.

Le vol s’effectue sans problème jusqu’à Santiago au Chile où nous avons une escale de deux heures. Nous sommes le 9 janvier.  La nuit a été longue et on a peu dormi : 5-6 heures pour moi et 3-4 pour Hélène peut-être. Nos voisines de sièges étaient légèrement dérangeant : la voisine d’Hélène avait le syndrome de Latourette et criait régulièrement durant la nuit. La mienne avait mal au ventre et s’est tortillée toute la nuit en m’accrochant régulièrement juste assez pour me réveiller.

Après la traversée des montagnes arides des Andes, nous arrivons à Buenos Aires vers 16h30. 



À l’aéroport nous achetons une puce de cellulaire (Personal) et un forfait 3G/30 jours pour environ 16$. On essaie de retirer de la monnaie locale dans les guichets mais la limite est si faible qu’on décide d’attendre plus tard.  Si on retire 100$ avec des frais de guichet de 12$ plus les frais de notre banque de 5$, ça fait 17% de dévaluation d’un coup! On verra ailleurs.

Nous partons en Uber jusqu’à notre appartement Aliwe (37$) près de l’aéroport El Palomar à l’autre bout de la ville (35 km).  Nous nous installons, prenons une bonne douche et allons faire un tour des environs en attendant Paul et Marie-Josée qui arriveront vers 20h. Ils en sont à leur neuvième journée à Buenos Aires. C’est vraiment agréable de penser que nous passerons les trois prochaines semaines avec eux à visiter le pays du Sud au Nord.

Nous allons souper ensemble et passons une soirée très agréable à nous raconter les péripéties des derniers jours, de part et d’autre.

Coucher à 22h30. On en a besoin!

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