mardi 4 février 2020

De Iguazú à Buenos Aires.


Mardi le 4 février. De Iguazú à Buenos Aires. 1300 km

Nous commandons un taxi pendant que nous déjeunons et il est à l’heure. En fait c’est le patron de celui d’hier, un jeune homme de 35 ans qui possède maintenant une flotte de dix taxis. Il est plutôt contrarié du retard de son chauffeur hier.

Nous arrivons au Parc d’Iguazu vers 8h et prenons les billets à taux réduit de 50% car c’est notre seconde journée consécutive ( 8$ pp au lieu de 16$pp).

Nous marchons 500 m avant d’arriver au début du sentier Macuco. Celui-ci mesure 7 km aller-retour  et mène à une jolie petite cascade.



À cette heure, le sentier est calme. Peu de chants d’oiseaux.  Nous observons des centaines d’araignées dans leur toile, des fourmis géantes de près de deux centimètres de longueur, des chenilles qui se déplacent en groupe serré ressemblant à un crottin.





Plus loin on entend le chant particulier d'un superbe Manakin à longue queue. Après l'avoir cherché et attiré en sifflant, on peut enfin l'observer. Ses couleurs nous éblouissent. Voir la vidéo suivante pour apprécier leur parade nuptiale exceptionnelle :  https://www.youtube.com/watch?v=SN82Mk83NBI

Manakin à longue queue. Photo d'Internet
Nous descendons au pied de la chute et y apprécions la beauté et la tranquillité. Plus tard ce sera plutôt bondé car en revenant nous rencontrons beaucoup de marcheurs qui se rendant à cet endroit.




Nous revenons au Centre d’accueil du Parc à 11h, en sueur après ces huit kilomètres sous une température chaude et humique.  Notre taxi nous attend.  Il nous amène directement à notre hôtel où les filles vont rapidement à la douche et les gars à la piscine.

Il fait très chaud et la majorité du groupe n’a pas le goût de marcher pour aller au restaurant. Nous faisons donc venir un lunch qui arrive vers 13h. Encore un peu de piscine et nous partons à 15h avec Miguel pour l’aéroport.

Notre vol de 17h30 est à l’heure. Le voyage se fait sans encombre si ce n’est une frousse terrible pour Marie-Josée qui avait perdu son passeport à quelque part entre la porte d’embarquement et son siège. Finalement ledit passeport fut retrouvé peu avant l’atterrissage sous les fesses d’un passager voisin. Ouf!

Nous prenons un Uber pour nous rendre à nos hôtels respectifs, voisins de 150 m environ puis nous nous retrouvons dans un resto sympatique qu’avaient adopté nos amis lors de leur séjour en début janvier.  C’est le vrai souper d’adieu!  Quels beaux moments passés ensemble à découvrir à chaque jour des paysages variés et spectaculaires!

Après les adieux, nous rentrons à l’hôtel vers 22h et devons changer de chambre car l’air climatisé ne fonctionne pas dans celle qu’on nous avait attribuée à l’arrivée. Comme il fait 32 degrés avec un haut taux d’humidité, la température aurait été insuportable. La nouvelle chambre est un peu plus petite mais tout fonctionne.  Nous nous couchons tout de suite après une bonne douche.

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