Iguazú. Jour 2.

Lundi le 3 février. Iguazú. Jour 2.

Nous allons déjeuner à 7h. Notre taxi d’hier, Juan, qui devait arriver à 7h40 n’arrive que 25 minutes plus tard après que je lui aie téléphoné. De justesse car on était en train d’en appeler un autre. Il a eu droit à une réprimande de ma part mais malheureusement pour lui, demain on fera affaire avec un autre.

Nous arrivons donc au Parc, du côté Argentin, vers 8h40.  L’achat des billets se fait rapidement et nous allons directement au train.  Il nous faut revenir sur nos pas pour prendre le billet de train gratuit. Oups! Il y a 9h30 d’indiqué sur le billet. Voilà le résultat du retard du taxi!  Heureusement Marie-Josée va voir le préposé à la barrière du train et il a des billets de 9h en réserve! Super!

Nous commençons donc notre visite comme prévu par la Garganta del Diablo. Une longue passerelle d’un kilomètre nous amène au-dessus de la gorge profonde. Une crue exceptionnelle il y a quelques années a emporté toutes les passerelles. Il y avait un débit de 32 000 m3/s! Les chutes sont extraordinaires ici aussi!  La foule est déjà dense. Qu’est-ce que cela sera plus tard dans la journée?  Bonne idée de commercer tôt!

Geai achahé

La Garganta del Diablo

La Garganta del Diablo

Capybara

Aigrette roussâtre

Nous reprenons le train pour revenir vers le circuit supérieur. Un peu plus d’un kilomètre qui nous amène en haut des chutes qui sont situées en aval de la Garganta del Diablo, face à l’Île San Martin.

Après nous être encore rincé les yeux et observé deux magnifiques Toucans toco, nous allons diner à l’un des petits restos du parc.  Les Coatis sont partout et il faut des grilles pour les empêcher de monter sur les terrasses et d’entrer dans les restaurants.

Toucan 

À 13h, nous faisons le circuit inférieur. Il fait de plus en plus chaud. On court l’ombre.  Encore des vues spectaculaires et nous observons des singes Sapajous noir ou Sapajou appelle, une sorte de Capucin. Nous revenons à l’hôtel vers 15h30 et après une bonne douche, nous allons relaxer dans la piscine du petit jardin et notre auberge.

Sapajou noir ou sapajou appelle

Vers 18h nous allons en ville pour prendre l’apéro et un souper au restaurant Te amare Maitena. Le poisson est excellent!  C’est le dernier souper avec nos amis et on dresse un bilan très positif de notre voyage à quatre.  Bien sûr il faut concilier parfois mais de manière générale tout s’est vraiment bien déroulé.

Nous sommes de retour à la chambre vers 20h et la soirée passe rapidement car il faut déjà préparer nos valises pour quitter nos chambres tôt demain matin.